Cousin 1983

Cousin, Bernard:
Le miracle et le quotidien.
Les ex-voto provençaux: images dŽune société.
Préface de Michel Vovelle.
Aix-en-Provence: Sociétés, Mentalités, Cultures 1983.


Dieser auf über viertausend Votivtafeln aus der Provence basierende Band des quantitativ-seriell arbeitenden französischen Mentalitätshistorikers Cousin stellt sich im Klappentext wie folgt vor:

En Provence, lŽex-voto peint fut, du XVIIe siècle à la fin du XIXe siècle, un phénomène de société. Malgré les destructions, il reste encore aujourdŽhui quatre mille de ces petits tableaux votifs, émanant en bonne partie des milieux populaires, si difficiles à atteindre par les sources écrites. Ces ex-voto se révèlent dŽune grande richesse: forme dŽart populaire, ils portent témoignage sur la vie religieuse et profane de leurs donateurs, exprimant toute une culture. A la fois images du Ciel et de la terre, scènes de la vie de tous les jours et objets de dévotion placés dans des lieux de culte, ils traduisent la rencontre, vécue par le donateur, entre le miracle et le quotidien.

LŽanalyse de ce document iconographique sériel, nouvelle source pour lŽhistoire, menée à lŽaide dŽune méthode quantitative rigoureuse, perment de dégager des évolutions dans ces représentations votives, tout en situant à leur juste place lŽétude dŽexemples, représentatifs dŽune norme ou exceptions. Ainsi tous les apports, individuels et sériels, du document iconographique, sont mis à contribution, dans la perspective dŽune histoire des mentalités. Enfin une confrontation avec des ex-voto catalans, italiens et germaniques permet de dégager les lois dŽune genre et les spécificités provençales.


In unserem Zusammenhang sind folgende Kapitel beziehungsweise Kapitelabschnitte von grösstem Interesse:

sowie die umfangreiche


Wie im Gegensatz zum französischen quantitativ-seriell arbeitenden Mentalitätshistoriker ein deutscher Volkskundler denselben Problemkomplex hauptsächlich aufgrund der Sammlung Kriss im Bayerischen Nationalmuseum München beziehungsweise im Herzogschloss Straubing abhandelt, geht aus Kriss-Rettenbeck 1958 beziehungsweise Gockerell 1995 hervor.